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Agence Christiane Schmuckle-Mollard

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Architecte D.P.L.G - Urbaniste - Architecte en Chef des Monuments Historiques - Expert ICOMOS

 

Hôtel Carnavalet (XVI-XVIIèmes siècles)

Hôtel particulier du Marais, architecture civile du XVIe siècle

RESTAURATION DES FAÇADES DE LA COUR LOUIS XIV

MAITRISE D’OUVRAGE  : MAIRIE DE PARIS SLA

MONTANT DES TRAVAUX : 1,79 MILLIONS D'EUROS T.T.C.

ETUDE ET TRAVAUX : 2013-2015

 

L’Hôtel de Carnavalet, édifié dans la première moitié du 16ème, siècle est classé Monument Historique depuis 1846. La Ville de Paris en fait son musée en 1880. 

Les travaux réalisés par Christiane Schmuckle-Mollard ont permis de restaurer les façades les plus an-ciennes de l’hôtel qui forment la cour, baptisée cour Louis XIV. 

L’étage des quatre façades présente d’importants bas-reliefs attribués aux ateliers de Jean Goujon et de Gérard van Obstal représentant les quatre Saisons, les quatre Éléments et les quatre Divinités. 

Des filets avaient été mis en place en raison des risques de chute de matériaux des corniches et et des grandes figures en ronde-bosse. 

Lors de la mission de diagnostic menée sous la direction de Christiane Schmuckle-Mollard, il a pu être vérifié que l’encrassement effectif, épais, formant des zones noires, était constitué de particules fines dues à la pollution constatée sur tous les monuments historiques dans le quartier du Marais.

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College Karl Marx (André Lurçat 1933) à Villejuif

Réhabilitation et extension en fonctionnement du groupe scolaire d'André Lurçat (1933 et 1947) - M.H. Classé 1996

MAITRISE D'OUVRAGE : DEPARTEMENT DU VAL DE MARNE

MONTANT GLOBAL DE L'OPERATION (Collège, maternelle, gymnase et collège provisoire) : 19,8 Millions d'euros T.T.C

2010-2013

Le groupe scolaire et sportif de l'architecte André Lurçat à Villejuif (Val-de-Marne) est une des oeuvre majeure de l'architecture du Mouvement Moderne en France. 

Les premières études d'analyse du bâtiment et de critique d'authenticité avaient été confiées en 2000 à l'agence Ch. Schmuckle-Mollard. La proposition de restauration-rehabilitation fut acceptée et mise en oeuvre à partir de 2010. L'ensemble des travaux, comprenant l'installation d'un réfectoire de 120 place avec cuisine dans le gymnase et la construction d'une aile neuve pour les classes techniques, fut complètement achevé en août 2013.

Lors de son inauguration qui attira plus de 20 000 personnes le groupe scolaire conçu et édifié par l’architecte français André Lurçat en 1933 à Villejuif fut qualifié de « plus belle école de France »(1). La commune « rouge » du Sud de Paris résolument tournée vers la réforme sociale et la modernité avait édifié « une anticipation, un début, un modèle, un exemple ». Le groupe scolaire de Villejuif est considéré, avec la villa Hefferlin à Ville-d’Avray, comme les oeuvres les plus achevées de Lurçat et un classique de l’architecture internationale de l’époque. À la fin des années 1990, le groupe scolaire de Villejuif, très vétuste et entretenu à minima, était devenu trop exigu. La signification culturelle du groupe scolaire, bien qu’incontestée, n’était presque plus perceptible et risquait d’être perdue à jamais.

 

Afin de répondre au programme national « Collège 400 » qui imposait des classes techniques de grande dimension et la volonté du maître d’ouvrage de créer un restaurant avec une cuisine professionnelle, la proposition de création d’une aile neuve et la reconversion du gymnase en réfectoire fut acceptée par le ministère de la culture, DRAC Île-de-France. 

Le gymnase d’origine ne répondait plus aux besoins et normes actuelles pour les équipements sportifs et sa reconversion en réfectoire de 120 places permit de conserver intégralement le magnifique volume et ses bandeaux de fenêtres dans leur état d’origine. Cette reconversion permit également de rouvrir le préau qui avait été clôturé pour augmenter le réfectoire et de retrouver au niveau de la rue de et la cour la transparence du bâtiment, élément si fondamental du projet d’origine.

Dans le bâtiment principal, les espaces originellement dévolus au restaurant accueillent désormais le centre documentation, logiquement situé au centre et au rez-de-chaussée, entre les préaux. Ici les travaux intérieurs permirent de révéler les vestiges des peintures de Jean Lurçat, connues par les photographies de 1933. 

L’aile basse nouvelle qui ferme aujourd’hui au Sud la cour du collège est un élément très contemporain qui achève le cloître esquissé par l’aile ajoutée par Lurçat en 1947. Voulue comme une réponse sobre face à l’oeuvre d’ André Lurçat, elle est cependant très sophistiquée d’un point de vue constructif (fondations spéciales par micro-pieux).

 

 

 

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Château de Grosbois

 

CHÂTEAU  DE GROSBOIS
BOISSY-SAINT-LÉGER  (VAL-DE-MARNE)                        

MAÎTRE D’OUVRAGE     :           
SOCIÉTÉ D’ENCOURAGEMENT À L’ÉLEVAGE   DU   CHEVAL   FRANÇAIS

MONTANT DES TRAVAUX : 6,857 MILLIONS D'EUROS T.T.C.

RESTAURATION DES EXTERIEURS DU CHÂTEAU ET DES COMMUNS

2002-2020

Représentatif de l’architecture française du début du 17ème siècle, bâti en brique et pierre, le château de Grosbois est l’un des plus important châteaux du Sud de Paris. 

Au milieu 17ème siècle, le château est vendu à Charles de Valois, Duc d’Angoulême qui édifie les deux ailes des pavillons d’entrée. 

Au début du 19ème siècle, le Maréchal Berthier, Prince de Wagram, fait construire les deux pavillons d’entrée et le portail d’entrée.

En 1962, le domaine est vendu à la société d’Encouragement à l’Élevage du Cheval Français. Les travaux engagés à partir de 2003 sont réalisés sous la direction de Christiane Schmuckle-Mollard . 

Les travaux de restauration des façades, du pavement et du portail d’entrée de la cour d’honneur réalisées entre 2013 à 2015 permirent de redécouvrir les dispositions d’origine de l’aile ouest. 

L'agence Christiane Schmuckle-Mollard restaure les extérieurs, les douves et les communs du Château de Grosbois depuis 2002. Les dernières tranches de travaux sur les extérieurs du château portant sur les douves, escarpes, terrasse et contrescarpes puis sur le pavillon sud-ouest — façades sud et est, y compris menuiseries du XVII et XVIIIèmes — ont été achevées en 2019.

Une étude diagnostique et préalable à la restauration des communs a été réalisée en 2016 en collaboration avec Laure Marieu, Architecte du Patrimoine à Paris. Les communs sont séparés du Château par la douve ouest sur laquelle le Prince de Wagram fit construire un pont au moment où fut édifié un pavillon supplémentaire. Les bâtiments comprenaient alors les écuries et les logements de palefreniers. L'étude du bâti à montré une datation unique pour les changements opérés à la fin du XVIIème et au début du XVIIIème siècles. Les bâtiments on été très peu modifiés au cours du XXème siècle, essentiellement pour y créer des logements. 

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CATHEDRALE NOTRE DAME DE STRASBOURG (Bas-Rhin)

 

RESTAURATION DE LA FLECHE

MAÎTRE D'OUVRAGE : 

MINISTERE DE LA CULTURE, DRAC ALSACE

MAÎTRE D'OUVRAGE DÉLÉGUÉ : 

FONDATION DE L'OEUVRE NOTRE-DAME

4,06 MILLIONS D'EUROS T.T.C

2002-2004

 

La pyramide de la flèche achevée en 1439, fortement restaurée aux XVIIe et XVIIIe siècles, puis après la première et la seconde guerre mondiale, présentait tous les désordres affectant les ouvrages métalliques du XIXe siècle (croix et cerclages de renfort, chaînages béton armé des années 1930, structure de renfort interne) et les maladies du grès (pulvérulences, desquamations, fissurations). 

La foudre et les secousses sismiques avaient occasionné de graves désordres et justifié de lourds travaux de restauration au cours des siècles. 

Les travaux de restauration et de consolidation de la flèche qui culmine à 142 mètres, ont été conçus et dirigés par l’Architecte en chef des Monuments Historiques, nommée architecte de la cathédrale en 1999. L’ingénieur Giorgio Croci a étudié le corset parasismique relié au tambour béton mis en place en 1930 à l’intérieur de la flèche. 

 

 

 

 

 

RESTAURATION DE L'OCTOGONE DE LA HAUTE TOUR

MAÎTRE D'OUVRAGE : 

MINISTERE DE LA CULTURE, DRAC ALSACE

MAITRE D'OUVRAGE DÉLÉGUÉ : 

FONDATION DE L'OEUVRE NOTRE-DAME

0,964 MILLIONS D'EUROS T.T.C

2004-2006

 

Le chantier de la haute tour a suivi celui de la restauration de la flèche, exécuté sous la direction de Christiane Schmuckle-Mollard. 

Un contrôle général des maçonneries et des sculptures a été réalisé ainsi que de tous les arrimages de pinacles, fleurons, gâbles, sculptures qui étaient désorganisés. 

La voûte intérieure et les statues du petit étage ont été restaurées. Les balustrades, les colonnettes, les chapiteaux, les pinacles et les fleurons ont été scellés à l’aide de goujon en fibre de verre et les joints coulés au plomb. 

 

 

 

 

RESTAURATION DES CONTREFORTS ET TRAVÉES OCCIDENTALES NORD

MAÎTRE D'OUVRAGE : 

MINISTERE DE LA CULTURE, DRAC ALSACE

MAITRE D'OUVRAGE DÉLÉGUÉ : 

FONDATION DE L'OEUVRE NOTRE-DAME

6,39 MILLIONS D'EUROS T.T.C

2003-2009

 

Le très haut niveau d’authenticité des maçonneries a justifié une étude pierre à pierre pour établir la cartographie des pathologies et de la nature des grès en vue du respect de la polychromie d’origine. Les maçonneries de grès ont pu être conservées à 90% malgré leur état de dégradation (desquamation et pulvérulence). 

Les travaux de conservation et de traitement de cette partie de l’édifice, restaurée sous la direction de l’Architecte en chef des Monuments Historiques, a été l’abondant décor sculpté restauré lors des travaux. 

 

 

RESTAURATION DES MAÇONNERIES ROMANES DE LA TOUR CROISÉE

MAÎTRE D'OUVRAGE : 

MINISTERE DE LA CULTURE, DRAC ALSACE

MAITRE D'OUVRAGE DÉLÉGUÉ : 

FONDATION DE L'OEUVRE NOTRE-DAME

0,589 MILLIONS D'EUROS T.T.C

2007-2009

 

La tour surplombant la croisée du transept de la cathédrale de Strasbourg a connu de nombreuses transformations depuis son édification à la fin du XIIe siècle. En 1879/80 Gustave Klotz construira la tour néoromane au-dessus de la galerie romane. La galerie à arcatures romanes, ouverte et très exposée, était dans un état de dégradation extrême. 

La restauration a permis de réutiliser les techniques et outils anciens, et de mettre en pratique les techniques de conservation du grès les plus performantes pour le remplacement des 21 colonnes dégradées du XIXe siècle. 

Le chantier, exécuté par les tailleurs de pierre de l’Œuvre Notre-Dame, a été conduit sous la direction de Christiane Schmuckle-Mollard.

 

 

RESTAURATION DU MUR OUEST DU TRANSEPT SUD

MAÎTRE D'OUVRAGE : 

MINISTERE DE LA CULTURE, DRAC ALSACE

MAITRE D'OUVRAGE DÉLÉGUÉ : 

FONDATION DE L'OEUVRE NOTRE-DAME

1,21 MILLIONS D'EUROS T.T.C

2009-2011

 

Le mur occidental du bras sud du transept est caractérisé par deux périodes d’édification : la partie nord (1180/90) en style roman et partie sud (1220/30) en style gothique. L’ensemble est très riche en marques lapidaires, aspects de taille et autres traces archéologiques. Le mur ouest présente de nombreuses traces de polychromie. 

La restauration a consisté en l’intervention en conservation sur : les parements, les parties basses des deux tourelles, les frises gothique et romane et de la « pierre aux personnages ». L’état d’altération très avancé de la balustrade (1899) a nécessité une réfection complète. Le couronnement de la tourelle heptagonale et ses gargouilles ont été restitués d’après les photographies du XIXe siècle.

 

 

RESTAURATION DE LA CHAPELLE SAINTE-CATHERINE

MAÎTRE D'OUVRAGE : 

MINISTERE DE LA CULTURE, DRAC ALSACE

MAITRE D'OUVRAGE DÉLÉGUÉ : 

FONDATION DE L'OEUVRE NOTRE-DAME

1,05 MILLIONS D'EUROS T.T.C

2011-2012

 

La chapelle Sainte-Catherine a été construite vers 1340-1345 par le Maître d’œuvre Gerlach, architecte de la Fondation de l’Œuvre Notre-Dame. Cette cha-pelle a été très peu modifiée depuis sa construction. Le décor qui orne les parties hautes (balustrades, gâbles, pinacles) a été fortement restauré en 1872 puis 1899. 

Les grès employés lors de ces restaurations étaient délités et fissurés, particulièrement au niveau de la balustrade et des crochets des gâbles. Les éléments d’origine en assez bon état de conservation. Les parties sculptées disparues seront restituées. Une part importante des travaux concerne la consolidation et le traitement en conservation des pierres et éléments anciens. 

 

RESTAURATION DES VERRIÈRES DU BAS-CÔTÉ SUD

MAÎTRE D'OUVRAGE : 

MINISTERE DE LA CULTURE, DRAC ALSACE

MAITRE D'OUVRAGE DÉLÉGUÉ : 

FONDATION DE L'OEUVRE NOTRE-DAME

1,5 MILLIONS D'EUROS T.T.C

2009-2012

 

Les verrières historiées de la cathédrale Notre-Dame de Strasbourg, avec 1 500 m2, constituent le deuxième ensemble de verrières médiévales en France. Les verrières sud sont parmi les plus importantes en raison de leur authenticité, la plupart des verrières ayant été restaurée et redistribuée dans la seconde moitié du XIXe siècle. 

Après une étude iconographique et technique, le projet de travaux, élaboré par Christiane Schmuckle-Mollard, a été confié aux ateliers Parot-Vinum et Vitrail France pour les doubles-verrières traitées par reproduction du dessin de résille de plomb médiéval. 

L’opération des travaux a fait l’objet d’un important mécénat culturel qui a permis de mettre en place une série de capteurs pour contrôler l’état de l’équilibre hygrométrique du dispositif. 

 

 

RESTAURATION DE LA GALERIE GOETZ SUD

MAÎTRE D'OUVRAGE : 

MINISTERE DE LA CULTURE, DRAC ALSACE

MAITRE D'OUVRAGE DÉLÉGUÉ : 

FONDATION DE L'OEUVRE NOTRE-DAME

0,3 MILLIONS D'EUROS T.T.C

1999-2000

 

Les arcatures néogothiques sud et nord, édifiées entre 1772 et 1778 par Jean-Laurent Goetz, abritaient des boutiques adossées entre les contreforts qui furent supprimées par Gustave Klotz en 1844. Les portails des boutiques furent alors transformés en baies avec remplages formant clôture.

Les balustrades de la clôture déposées en 1976 et la corniche déposée en 1982 furent restaurées en grès vosgien par l’Œuvre Notre-Dame.

Ces éléments furent mis en œuvre en 1999 - 2000, lors des travaux de restauration en conservation des parements et des chapiteaux des pilastres. Cette première intervention de traitement en conservation a marqué un tournant dans la restauration en Alsace. 

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Ambassade d'Egypte à Paris (XIXème siècle)

 

 

CHANCELLERIE DE L’AMBASSADE DE LA REPUBLIQUE ARABE D’EGYPTE

56 avenue d’Iéna, PARIS

MAITRE D’OUVRAGE :

REPUBLIQUE ARABE D'EGYPTE

RESTAURATION COMPLETE DE L’EDIFICE ET MISE AUX NORMES TECHNIQUES

MONTANT : 8,20 MILLIONS D'EUROS T.T.C

TRAVAUX : 2008 - 2010

 

L’hôtel particulier du 56 avenue d’Iéna appartient à la République Arabe d’Egypte.

L’édifice a été restauré sous la direction de Christiane Schmuckle-Mollard. Il est constitué de trois niveaux identiques bâtis sur rez-de-chaussée surélevé.

La splendeur de cet hôtel particulier parisien de la fin du XIXe siècle qui avait conservé une grande authenticité de ses décors intérieurs a été révélée par la démolition de cloisonnements parasites. La réhabilitation complète en site occupé des 5 760 m2 était rendue nécessaire par la vétusté des équipements techniques et le vieillissement des lieux.

Les travaux ont été exécutés par l’entreprise Lefèvre et ses sous-traitants.

 

 

HOTEL EPHRUSSI -  RÉSIDENCE DE L'AMBASSADEUR DE LA REPUBLIQUE ARABE D’EGYPTE

1 place des États-Unis, PARIS

MAITRE D’OUVRAGE :

REPUBLIQUE ARABE D'EGYPTE

RESTAURATION COMPLETE DE L’EDIFICE ET DE SES GRANDS DECORS

MONTANT : 8,92 MILLIONS D’EUROS T.T.C.

TRAVAUX :
2009 - 2011

 

Situé place des Etats-Unis, l’Hôtel Ephrussi, œuvre de Paul Ernest Sanson, est l’un des premiers hôtels particuliers sans jardin mais avec vue sur la place. 

La disposition et les décors néoclassiques avaient été préservés et la remarquable authenticité des lieux a été mise en évidence jusque dans les écuries. La cuisine au sous-sol et les salles de bain ont été mises en valeur par les travaux de restauration exécutés par l’entreprise Lefèvre et ses sous-traitants.

 

 

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Collection Lambert en Avignon

EXTENSION DE LA COLLECTION LAMBERT        

AVIGNON, VAUCLUSE

MAITRE D’OUVRAGE :           

CITADIS

ARCHITECTES ASSOCIES:

Cyrille & Laurent Berger, mandataire

Christiane Schmuckle-Mollard

MONTANT DES TRAVAUX : 

9,57 MILLIONS D’EUROS T.T.C.

2013-2015

 

Les Hôtels de Caumont (cl. MH 1964) et de Montfaucon (ISMH 1931), bâtis dans la première moitié du 18ème siècle en Avignon, ont été restaurés et réaménagés pour accueillir, dans un espace agrandi, la présentation publique de la collection d’art contemporain Yvon Lambert contenue jusque 2014 uniquement dans l’Hôtel de Caumont. Celui-ci avait été restauré en 1999 par l’architecte Rudy Ricciotti.

La réhabilitation de l’Hôtel de Montfaucon a permis de créer en Avignon un très grand musée d’Art contemporain, ouvert le 8 juillet 2015. Les architectes Berger & Berger, Christiane Schmuckle-Mollard et les bureaux d’études associés ont conçu et dirigé les travaux de restauration et de réhabilitation lourde. Les ailes nouvelles sur la cour sont l’œuvre de Berger & Berger.


Bien que la démarche de projet ait concerné l’exploitation maximale des lieux historiques, ceux-ci ont été préservés chaque fois qu’ils subsistaient dans leur état 18ème siècle. Dans les lieux où tout retour à un état historique ne pouvait être envisagé, une dérestauration soignée des interventions des années 1970 ayant vieilli ouvrit la voie pour Berger & Berger à une expression architecturale nouvelle. 

Partout où la restitution d’éléments historiques disparus avait été jugée importante, ceux-ci ont été mis en œuvre, telle la grande porte du 18è siècle du portail d’honneur de l’hôtel de Montfaucon qui fut considérée comme essentielle dans le paysage urbain du secteur sauvegardé d’Avignon. 

L’intervention de l’architecte en chef des Monuments historiques Christiane Schmuckle-Mollard alla au-delà de la restauration de l’enveloppe bâtie. En dialogue avec les architectes mandataires, elle permit le décloisonnement complet de l’étage noble de l’Hôtel de Montfaucon dans le respect des murs extérieurs confortés. Sous sa direction, la mise en œuvre dans les fenêtres anciennes de verres spéciaux évita d’altérer l’aspect historique des menuiseries tout en garantissant les qualités de présentation et de conservation requises pour des œuvres d’art.

Un soin particulier a été apporté à la restauration du patrimoine historique dont le caractère 18ème siècle a été respecté tout en créant un contraste positif avec les interventions contemporaines des espaces intérieurs. 

Les cinq photos sous le plan du rez-de-chaussée (Montfaucon à gauche et Caumont à droite) illustrent l’état avant restauration.

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Pavillon Lescœur

Pavillon Lescœur - Saint Cloud (Ile-de-France)

MAITRE D’OUVRAGE:  Interconstruction

DÉCONSTRUCTION-RECONSTRUCTION DE L’HÔTEL PARTICULIER

MONTANT DES TRAVAUX : 1.1 MILLIONS D’EUROS T.T.C

2015-2019

 

Le Pavillon Lescœur, hôtel particulier de style Napoléon III, étant implanté en limite de la rue Dailly, voie départementale, a été déconstruit au printemps/été 2016 et reconstruit en 2018 pour permettre le renforcement par micropieux sous la voie.

L’histoire de l’édifice, son architecture et le décor de ses façades construites en blocs de pierre massive lui confèrent une valeur historique importante.

Les décors intérieurs ont disparu depuis son occupation par les Allemands durant la seconde Guerre Mondiale. 

Les missions de conception et de suivi des opérations de démontage puis de remontage et de restauration ont été confiées à Christiane Schmuckle-Mollard pour mener à bien cette opération qui conditionna l’aménagement de la colline en contrebas pour la création de logements de grande qualité.  

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Château de Sucy-en-Brie

Villa Falbala de B. Dubuffet

Ville de Bonifacio (étude urbaine)

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Ville de Bonifacio (étude urbaine)

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